Campagne d’implantation de puits d’eau sur le continent africain  

 
De nos jours beaucoup de villageois sont privés d’une eau saine, boivent une eau insalubre, partage les mêmes points d’eau que le bétail (ce qui crée souvent des problèmes d’hygiène) ou sont obligés de marcher dans certains cas jusqu’à 45 kilomètres pour arriver à un petit point d’eau سبحان الله

La sécheresse accentue les difficultés d’accès à l’eau potable, mettant en péril de nombreuses vies. Découvrez la carte d’accessibilité à l’eau ici .

  Sa’d Ibn ‘Ubâda a dit : « Lorsque ma mère décéda, je dis au Prophète : « Ô Envoyé de Dieu ma mère est décédée, puis-je faire l’aumône à son intention? »  – « Oui » répondit il.« Quelle aumône est la meilleure? » , m’enquis-je auprès de lui.
- « Offrir de l’eau à boire », me répondit-il.

 
Cette campagne d’implantation à pour objectif  d’améliorer des conditions d’accès à l’eau, certes nous formons une Oumma, la Oumma de Muhammad qui incite à la solidarité, en espérant la satisfaction et la récompense d’Allah .
De plus nous constatons avec désarroi que beaucoup d’associations ou organisations non musulmane sont elles très actives dans les actions humanitaires vers les pays MUSULMANS afin d’y faire leur da’wa الله المستعان
(Indonésie, Afrique noire, Maghreb et d’autres lieux)

Ibn Umar rapporte ces paroles de l’Envoyé d’Allah : « Le musulman est le frère du musulman, il ne se montre pas injuste à son égard et il ne le livre pas (à ses ennemis). Allah aidera celui qui vient en aide à ses frères et Il soulagera d’un des tourments du Jugement Dernier celui qui soulage un musulman dans l’affliction. Quiconque scelle les défauts d’un musulman, Allah scellera les siens le jour de la Résurrection. »
(Bukhari et Muslim).

Vous pouvez soutenir ce projet ce projet Sachez que la sadaqqa jarya est une aumône permanente qui vous rapporte un capital de hassanates, même après la mort chaque fois que ce puits abreuvera humain ou bétail.
Le Prophète a dit : « Quand un homme meurt, les effets de ses actions cessent sauf dans trois cas :
une aumône courante (permanente), un savoir utile ou un enfant pieux qui prie pour lui ».
rapporté dans les deux sahih
(Muslim, 1631) 

 ici les travaux puits n°1 en image